Le seuil est souvent vu comme un lieu fonctionnel. On y dépose ses clés, son manteau, son téléphone. Mais si on y prête attention, il est bien plus que cela :
👉 C’est le point de passage entre le dehors et le dedans, entre le monde et soi.
Un espace à la fois visible et symbolique, qui marque notre manière de « revenir à nous ».
🔍 Comment entrez-vous chez vous ?
Est-ce dans un geste précipité, mécanique, épuisé ? Ou au contraire, dans un relâchement, une transition consciente ?
Le seuil, souvent négligé, est la première parole silencieuse que l’on se dit en rentrant.
Un seuil encombré, sombre ou sans attention particulière peut refléter :
▪️ Une difficulté à prendre sa place chez soi (et dans sa vie)
▪️ Un besoin de tout contrôler, d’anticiper dès l’entrée
▪️ Ou un sentiment diffus de surcharge, qui déborde déjà à la porte
🌿 Et si on en faisait un sas de présence ?
Un petit espace pour faire pause, laisser dehors ce qui n’a pas à entrer.
✔ Une lumière douce pour signifier « je suis chez moi »
✔ Un banc ou un tapis pour s’arrêter, respirer, se déposer
✔ Un geste rituel, aussi simple que poser ses clés en conscience, peut tout changer
🎯 Transformer le seuil, c’est choisir de s’accueillir.
💬 Et vous ? Quelle est la première chose que vous ressentez en rentrant chez vous ? Le seuil vous accueille-t-il… ou vous agresse-t-il un peu ?
👉 Dans le prochain épisode : la cuisine — espace nourricier ou zone de compensation ? 🍲
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