C’est le lieu de l’abandon. Du relâchement.
Ou, paradoxalement, le lieu de la lutte invisible.

Le lit nous accueille chaque nuit — mais comment l’habitons-nous vraiment ?
Est-ce un lieu de régénération ou un champ de bataille silencieux contre l’agitation, l’insomnie, les pensées en boucle ?

🔍 Et si le lit révélait :
▪️ Notre rapport au lâcher-prise
▪️ Notre capacité à “tomber” dans le repos
▪️ La place que l’on accorde au soin du corps, à la nuit, à l’ombre, au non-agir

🎯 Un lit trop dur peut incarner un besoin de contrôle.
Un lit trop mou, un effondrement latent.
Un lit froid, impersonnel, peut marquer une distance à soi… ou à l’autre.

🌿 Et si le lit devenait un espace de présence au corps ?
✔ Un cocon choisi pour se déposer
✔ Un lieu où le souffle ralentit vraiment
✔ Un endroit où l’on peut se retrouver — seul·e ou à deux — sans tension, sans masque

💭 Résistez-vous au repos ? Le reportez-vous jusqu’à l’épuisement ?
Ou avez-vous construit un rituel, un rythme qui vous aide à glisser doucement vers le sommeil ?

💬 Et vous, que raconte votre lit ? Est-ce un lieu de refuge, d’oubli, de fatigue ou de désir ?
Vous y abandonnez-vous… ou vous y défendez-vous d’exister ?

👉 Prochain épisode de Corps en pièce : Le canapé – me soutenir ou m’absorber ?

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